Paris moins chère que Londres et New York

Les parisiens ont de la chance

L’étude publiée par la FNAIM (Fédération Nationale de l’Immobilier) va peut-être surprendre les Parisiens qui se plaignent aussi volontiers de la cherté de l’immobilier que des embouteillages dans la capitale, mais son résultat est incontestable : les logements à Paris même (Paris intra-muros) sont nettement moins chers que leurs équivalents londoniens (ceux de la zone centrale de Londres) ou new-yorkais (notamment ceux de Manhattan). Ainsi les prix maxima au mètre carré sont d’environ 30 000 euros à Paris contre 60 000 euros à Londres (soit le double) et 90 000 euros à New York (soit le triple). Imaginez donc tout de suite la bonne affaire que vous faites lorsque vous achetez un bien immobilier en périphérie de la capitale, qui est alors presque un bien bon marché comparé aux tarifs pratiqués par certains de nos voisins !

Une différence de prix due à la différence des marchés

Les professionnels de l’immobilier qui constituent la FNAIM (Fédération nationale de l’immobilier) en profitent bien évidemment pour souligner que Paris est relativement bon marché, mais n’insistent pas sur les différences structurelles entre les différents marchés : la densité démographique à Londres est relativement faible, compte tenu d’un bâti d’une hauteur largement limitée, et la surface de Manhattan ne représente que 60 kilomètres carrés (contre 100 pour Paris intra-muros) alors que c’est le cœur d’une métropole de 20 millions d’habitants (contre 9 millions « seulement » pour Paris).

La demande est ainsi mécaniquement plus forte à Londres et New-York, d’autant plus que de nombreux étrangers sont attirés par ces villes, et ces deux villes resteront ainsi durablement plus chères que Paris !

Article sponsorisé par www.klhconseil.com, agence immobilière spécialisée dans la valorisation et la vente d’appartements à Colombes (Hauts-de-Seine).

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